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ENTRETIEN AVEC LUCILLE CHAPONNAY

  • Photo du rédacteur: Capucine BUCK
    Capucine BUCK
  • 30 mars
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : il y a 5 jours




Elle est souriante, sympathique et elle a un talent fou : Lucille CHAPONNAY, reine de la Romantasy et de l'Urban Fantasy, sera présente au Salon du livre 4H, les 14 et 15 juin prochains.


Elle a accordé au Festival 4H un entretien exclusif !


Capucine Buck : Comment une globe-trotteuse internationale devient-elle auteure de romans Fantasy à succès ?


 Lucile Chaponnay : Ma mère aimait beaucoup lire, c'est donc assez naturellement que m'est venue la lecture. J'aime voyager, autant dans la réalité qu'en pensée ! Puis, au collège, mon professeur de français nous a donné comme projet d'année d'écrire une histoire... Et alors, j'ai compris que je pouvais voyager aussi dans mon propre imaginaire.


Je n'ai jamais vraiment décroché de l'écriture depuis et, petit à petit, j'ai commencé à partager mes histoires. J'ai rencontré mon public et, depuis, impossible de m'arrêter, jusqu'à en faire mon métier à temps plein !


 CB : Vous avez déjà écrit plus d’une vingtaine de romans, entre Romantasy et Urban Fantasy. Quels sont les « codes » de ces deux genres et lequel affectionnez-vous le plus ?


 LC : La Romantasy est la contraction entre romance et fantasy, le parfait équilibre entre les deux ! Un univers magique mêlé à une romance palpitante, de quoi combler les cœurs qui apprécient à la fois les histoires d'amour et les quêtes épiques.


L'Urban Fantasy (ou fantasy urbaine) se distingue par l'apparition de la magie dans notre monde. Ce sont deux genres assez différents, mais qui me plaisent tout autant ! Et celui que j'affectionne le plus... Je dirais la Fantasy dans sa grande globalité !


 CB : Cassiopée, Jane, Senia… vos livres sont peuplés de guerrières farouches et courageuses. L’univers de la Fantasy, longtemps considéré comme masculin, deviendrait-il féministe ?


 LC : Je pense que, comme pour beaucoup de choses, on prend conscience que les femmes autant que les hommes aiment l'imaginaire. De fait, de plus en plus d'autrices s'ouvrent à ce genre, et de plus en plus de lectrices s'y engouffrent.


Si avant, prendre un surnom neutre/masculin (exemple: JV Jones, Robin Hobb,... etc) permettait de mieux être reconnu, aujourd'hui ce n'est plus le cas et j'en suis la première heureuse ! Le marché évolue, s'adapte enfin à tous les genres et à tous les goûts.


 CB : Vous êtes plutôt vampire ou plutôt dragon ?


 LC : Même si j'ai une saga avec des vampires (Les Princes Vampires), je dirais dragon ! J'ai grandi avec Eragon et Les Chroniques du Monde Émergé, forcément, ça laisse des traces ! Même si, dans mon cas, mes personnages sont plus adultes.


Vous trouvez Lucille CHAPONNAY exceptionnelle ? Nous aussi.


Et sur son site internet : https://www.lucillechaponnay.com/







 
 
 

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